MA LECTURE : GDIZ, entretenons l'idéal commun!



Tous, hommes et femmes, Béninoises et Béninois de tous bords, aspirons naturellement à la transformation structurelle du Bénin. 

Nous avons tous souhaité que l'or de Perma, le fer de Loumbou-loumbou etc soient effectivement une réalité dans laquelle notre fierté nationale baigne et s'émeut. 

Sur le chantier du développement, aucun sacrifice n'est de trop. Il n'a jamais été dit que les choses se feront d'un coup de baguette magique. Ce n'est pas possible ainsi, ni aujourd'hui encore moins demain. Il eût donc fallu apporter du sien pour atteindre l'idéal commun, chacun selon sa position.

Le GDIZ est une fierté nationale. Le Bénin n'a pas inventé le concept de l'industrialisation, encore moins les protocoles qui s'y attachent. On parle déjà de milliers d'emplois. Un tremplin à l'apprentissage, passerelle vers des contrats durables et sûrs. On parle aussi de difficultés, quoi de plus normal, car nous venons de commencer. Et au rapport de proportionnalité en jetant un coup d'œil à nos voisins, notre avancée est assez significative. Oui, le contraire si je mens.

Alors aux jeunes qui font leurs expériences professionnelles ou d'apprentissage quoique rémunérés, n'arrêtons pas le mouvement. Retroussons les manches et mettons-nous à l'œuvre, sans crier gare. 

Dans tous les cas, le bénéfice devant l'histoire et les peuples, c'est qu'ils retiendront que ce sont ces hommes et femmes, ces jeunes à l'œuvre aujourd'hui qui ont écrit les premières pages de ces industries installées à la GDIZ. Et ça, ce n'est pas rien. 


✍️VodFid

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