LA CONFIANCE, CLÉ D'UN DESTIN NATIONAL



On pourrait écrire tout un traité sur les vertus et les fruits de la confiance. Elle demeure une matière inépuisable. Mais lorsqu’elle éclaire le choix d’un homme appelé à conduire la destinée de tout un peuple, elle prend une dimension autrement plus élevée : celle du défi historique.

La jeunesse béninoise en a aujourd’hui la preuve vivante : la confiance peut engendrer ce qu’il y a de plus grand, de plus durable, de plus profond et de plus triomphant.

Lorsque Patrice TALON, Président de la République du Bénin, fit appel à Romuald WADAGNI — ce jeune érudit de la comptabilité, presque arraché aux bancs universitaires pour intégrer la prestigieuse firme Deloitte — il ne s’agissait pas seulement d’un « oiseau rare » dans l’univers de la finance. L’homme d’affaires, comme il le reconnaît lui-même, recherchait simplement le meilleur. Je me souviens de ses mots, prononcés à l’endroit des patrons de presse à Cotonou en 2015 :

« Je ne suis pas un génie. Mais je m’assure de rechercher les meilleurs dans le domaine où j’évolue. Si j’ai les meilleurs avec moi, il n’y a pas de raison que je ne gagne pas. »

Devenu Chef de l’État en 2016, Patrice TALON confirma son choix en confiant à Romuald WADAGNI la gestion des finances publiques du Bénin. À peine quadragénaire, le jeune ministre accédait à une responsabilité stratégique. Était-ce une consécration ? Non. C’était le début d’un parcours d’excellence, mené avec humilité et rigueur, loin de toute vanité.

Car des hommes et des femmes de talents, le Président en connaît, au Bénin comme au-delà des océans. Mais en Romuald WADAGNI, il avait repéré quelque chose d’unique : la capacité à assumer la charge avec calme, maîtrise et simplicité. De ministre, il devint ministre d’État, chargé de la coopération, toujours égal à lui-même, allant même jusqu’à partager des selfies avec des inconnus, le sourire franc et juvénile. Nulle arrogance : une constance presque divine.

Ainsi, la confiance a poursuivi son œuvre dans la vie de Romuald WADAGNI. Jusqu’à cette heure décisive où, au-delà du Chef de l’État, c’est tout un peuple — et bien plus encore, la communauté internationale — qui appose désormais son sceau : approuvé.

Lui-même l’a souvent répété : il faut savoir se concentrer, donner le meilleur de soi, remplir ses devoirs avec foi et abnégation. Le reste suit naturellement. William JAMES l’enseignait déjà :

« Qu’aucun jeune n’ait de crainte pour son avenir, quelle que soit la voie qu’il ait choisie. S’il travaille consciencieusement chaque jour, il sera un jour reconnu comme l’un des plus compétents de sa génération. »

Aujourd’hui, malgré les résistances de quelques esprits chagrins, la jeunesse béninoise dispose d’un exemple éclatant : la confiance se mérite, se construit patiemment, et finit toujours par porter ses fruits.

Pour les croyants, Jérémie 29:11 sonne comme une promesse intemporelle :

« Car je connais les projets que j’ai formés sur vous, dit l’Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l’espérance. »

Le destin du Bénin s’écrit désormais avec Romuald WADAGNI. Le pays y gagne, et chacun est appelé à y prendre part. Car cette marque de confiance est aussi une leçon : celle d’un temps où chaque jeune, par son travail et sa persévérance, peut espérer mériter l’unanimité des hommes et la bénédiction des dieux, pour une consécration à la mesure de ses ambitions et de ses mérites.


✍️ Fidèle Sèna VODOUNON

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